Le choix d'un robinet ordinaire est fonction des emplois auxquels on le destine. Même s'il ne s'agit que d'un point de puisage sans spécificités particulières, il est bon de pouvoir y brancher un tuyau d'arrosage. Il est donc préférable de le choisir avec un bec fileté. S'il se trouve en extérieur, prévoir une grille d'évacuation (trop-plein ou lavage) ainsi qu'une possibilité de vidange pour éviter le gel ou réaliser une protection isolante manchonnée.
La robinetterie de base est traditionnellement en cuivre, en laiton, voire en acier chromée.
Elle comprend un dispositif de distribution de l’eau très basique constitué d’un corps évidé prolongé par un nez courbe dirigeant l’eau du haut vers le bas.
Un
clapet à joint de caoutchouc, situé au bout d’une tige filetée, est manœuvré à l’aide d’une poignée à oreilles en forme de potence double.
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Ce clapet libère ou empêche le passage de l’eau dans le corps du robinet.
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Sur les versions les plus modernes, cette poignée prend la forme d’une grosse poignée crantée. C’est le robinet qu’on trouve classiquement sur les lave-mains.
1. Le robinet de puisage
C’est le robinet d’extérieur classique tel qu’on en trouve dans presque toutes les maisons possédant un jardin.
L’extrémité du bec est généralement filetée pour recevoir soit un raccord vissant direct de liaison pour un tuyau d’arrosage, soit un embout spécifique pour relier celui-ci par simple emboîtement.
2. Les vannes d’arrêt
Le principe du robinet de puisage a servi de base à la fabrication de la plupart des vannes (ou robinets) d'arrêt.
C’est encore le système le plus répandu. Il en existe aussi aujourd’hui en matière plastique, associées aux installations en PVC-C (PVC « pression »).
Depuis quelques années sont apparues des
vannes quart-de-tour à système d’obturation par bille.
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