Réservée aux travaux importants, la soudure MIG-MAG offre une grande autonomie du fait d’un métal d’apport en bobine qui se déroule automatiquement…
Les postes semi-automatiques permettent de réaliser des soudures acier, inox (MAG) et aluminium (MIG) en utilisant l’arc électrique pour atteindre la température de fusion du métal (1 500°C pour l’acier) et réaliser des soudures autogènes.
L’injection d’argon ou d’argon et CO2 protège le bain de fusion des effets oxydants de l’air ambiant, tout en améliorant la pénétration de la soudure car elle limite l’échauffement du matériel et des pièces à souder. L’alimentation en continu par une bobine de fil assure une bonne autonomie.
Choisir le fil d’apport (fourré pour l’acier, standard pour les autres métaux) et monter la bobine dans l’appareil.
Amorcer le fil sur le galet. Le choisir en fonction de l’épaisseur du fil pour favoriser un bon avancement.
Entraîner le fil à l’intérieur du câble de connexion jusqu’à la torche.
Le faire dépasser de quelques centimètres.
Visser la buse au bout de la torche puis couper le fil qui dépasse pour ne garder qu’une amorce de moins d’1 cm.
Raccorder le tube sur la bombonne de gaz.
Adapter le débit selon l’épaisseur du fil et celle des plaques.
Régler l’appareil. Ce n’est pas toujours évident, mais sur certains modèles, comme celui-ci, ça a été simplifié.
Réaliser le cordon. Le métal sort automatiquement de la torche.
Réduire la vitesse lorsque l'on est débutant.
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